Mis à jour le 2 janvier 2014

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Nom

SITE DU VILLAGE DE MOUTIER-HAUTE-PIERRE

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surface

628.81 hectares

Extrait du texte officiel :

Ensemble formé par le village et ses abords et délimité comme suit dans le sens des aiguilles d'une montre : la limite des communes de Mouthier-Haute-Pierre et de Lods ; la limite nord des sections A2, B1, B2 ; la limite des communes de Mouthier-Haute-Pierre et Haute-Pierre-le-Châtelet ; la limite des sections B5 et C2 ; la limite des sections C1 et C2 ; la limite des sections C3 et C2. ; la limite des communes de Mouthier-Haute-Pierre et d'Aubonne ; la limite des communes de Mouthier-Haute-Pierre et d'Aubonne ; la limite des communes de Mouthier-Haute-pierre et de Renédale ; la limite des sections F3 et D ; la limite des sections E1 et D jusqu'à la limite de l'ancien site du rocher du Moine ; la limite de l'ancien site du rocher du moine (situé sur la section D) ; la limite des sections E1 et D ; la limite sud-ouest du lieudit « les Echinges » (section E1) ; la limite des sections E1 et E3 ; la limite des sections F1 et E3 ; la limite des sections E4 et E3 jusqu'à la limite des communes de Mouthier-Haute-Pierre et de Lods (point de départ).
(S. Ins. : 25 octobre 1974).


Description :

Bâti au centre d'un vaste amphithéâtre rocheux coiffé d'entablements calcaires immédiatement à l’aval des Gorges de Nouailles, Le village de Mouthier-Haute-Pierre est une petite agglomération rurale pittoresque comprenant le village haut, bâti à flanc de coteau et une partie basse construite sur le bord même de la rivière. Sa situation privilégiée au fond d’une vallée particulièrement escarpée a favorisé la culture de la vigne. A l’origine du village, les moines fondèrent une abbaye dont la première mention est faite en 870. Jusqu’à la révolution, l’histoire du village est liée à celle du prieuré. La culture de la vigne et des arbres fruitiers occupait la presque totalité du terroir, les conditions topographiques interdisant toute autre culture. La vigne ayant disparu suite à la crise du phylloxéra et à la concurrence des vins du midi, seule demeure celle des cerisiers qui produisent un kirsch, une eau de cerise de bonne réputation dont la fabrication remonte au XVIII° siècle. Lors de la floraison de ces arbres au printemps, le site de Mouthier est particulièrement remarquable.



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La surface indiquée dans le tableau est celle mesurée sur la carte du système d'information géographique, elle peut ne pas correspondre à celle du décret. Seules les limites du site indiquées dans le texte officiel font force de loi.

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